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Malcolm de Chazal
(1902-1981)
Poèmes
Éditions Jean-Jacques Pauvert, 1968
1
Le poids
Ne se
Sent
Fort
Que
Dans
La balance.
2
La logique
Ne sest
Jamais
Raisonnée.
3
La rivière
Change
De
Déshabillé
Avec
Chaque
Tournant
4
Le matelas
Attendait
Lhomme
Pour
Dormir.
5
Les fleurs
Sont
Myopes
Sans
Leurs feuilles.
6
Les odorats
Autour
De la table
Volaient
A chacun
Son appétit.
7
Toutes
Les cavernes
Toussèrent
Cet hiver.
8
Tous
Les accidents
Arrivent
Quand
La route
Change
Didées.
9
La mort
Est
La bonne-bouche
De volupté.
10
La dernière
Sensation
Du pendu
Cest
Quon
Lui arrache
Les pieds.
11
Larc-en-ciel
Est
Len-tête
Du Verbe.
12
La langue
Est
Ce qui
De notre corps
Nous est
Le plus familier.
13
La bouteille
Est
Tout
En à-côtés.
14
La terre
Na jamais
De
Maux
Destomac.
15
Le fil
Perd
Son bout
Quand
On le coupe.
16
Tout caillou
Qui tombe
Semble se décoller.
17
Rien
Ne peut
Etre plus ovale
Que le fruit.
18
Lespace
Senroule
Mais
Ne se
Déroule
Jamais.
19
La caresse
Na goût
De parfums
Que
Dans les chairs
Denfants.
20
Lair
A toujours
Raison
Du vent.
21
Lombre
Est
La valise
De lespace.
22
Des fleurs
Grises
Causeraient
Un arrachement
De feuilles.
23
Un disque
Tourné
A une vitesse
Infinie
Permettrait
De passer
Le bras
A travers.
24
Leau
Dans la digue
Avait
Des gestes
Dhippopotame.
25
Loiseau
Qui
A peur
Se sent
En cage.
26
Le sorcier
Est
A point
Quand
Il sest
Lui-même
Ensorcelé.
27
Quand
Une roche
Meurt
Elle na pas
Besoin
De senterrer.
28
Chaque
Oiseau
A la couleur
De son cri.
29
Leau
Dans le vase
Ne dépasse
Pas
La hauteur
De ses reins.
30
Luf
Est
Tout
en mentons.
31
Lair
Na pas
De
Cartouches
De dynamite.
32
Le corps
Défit
Son dernier
Ourlet.
33
Lor
Est
Le métal
Aux plus larges
Epaules.
34
Elle
Avait
Le sexe
Dans ses yeux
En précipice.
35
La pâquerette
Est
La plus belle
De toutes
Les lingères.
36
Les ossuaires
Sont
Des tombolas.
37
Son regard
Sourceait.
38
Lamer
Ne
Dégobille
Que
Quand
Il
Est
Seul.
39
La bouche
Mangeait
A
Califourchon.
40
Le
Fourre-tout
Est
Le vide
Cest
Le corps
Du désordre.
41
Le bleu
Pâlit
De bonheur
Cétait
Le printemps.
42
Le fil
Est
Une ligne
De rupture.
43
La rosée
Cest leau
Qui est devenue
Vase.
44
Le feu
Retarde
Ou avance.
La lumière
Est
Toujours
A temps.
45
Larc-en-ciel
Est
Une montre
Sans remontoir.
46
Shabiller
Pour les femmes
Est
Leur meilleure
Manière
De parler.
47
Les bras
Se meuvent
En tourne-vis.
Le parfait
Marteau
Est
Le pied.
48
Il faisait
Chaud.
La pluie
Laissa
Tomber
Son pantalon.
49
La hanche
Est
Le verbe
De la conversation
Des robes.
50
Tous les animaux
Sourient
Quand
Ils boivent.
51
Si les fleurs
Ne nous
Voyaient
Nous
Ne les verrions
Pas.
52
Leau
Baissa
Sa jupe
Comme
La rame
Passait.
53
Tout objet
Qui tombe
Se signe.
54
Lhorizon
Ne fait
Jamais
Un pas
De trop.
55
La pierre
En bottins
Marchait
Dans
Les bornes
De la route.
56
Les traîtres
Ne se méfient
Jamais
Des tournants.
57
Lespace
A
Pour seule clé
Le regard.
58
La Nature
Ignore
Le déjà
vu.
59
Par son il
En souterrain
Légout
Regardait
La caverne
Et
Ce fut
Légout
Qui baissa
Les yeux.
60
La table
Sendormit.
La conversation
Lennuyait.
61
Elle
Avait
Des pas
Sages
Dans
Des pieds
Fous.
62
La bague
Se mit
Le doigt
Dans lil.
63
Elle découpait
Ses robes
Dans
Des tissus
Dabsence.
64
Le feu
Se lamentait
Que
Le bois
Ne le
Comprenait
Pas.
65
Leau
Na
Jamais
Donné
De trou
Total.
66
La
Quantité
Enrichie
Se couvrit
De qualités.
67
Elle
Revint
Avec
Le miel
Et
Laissa
La lune.
68
Elle
Avait
Les yeux
Gourmands
Delle-même.
69
La mort
Vint
Quand
Lhomme
Etait
Absent.
70
Le remords
Se
Suicida.
71
La Terre
Na
Jamais
Connu
Copernic.
72
La gifle
Nen
Croyait
Pas
Ses bras.
73
Le thé
Se vit
Théière
Dans le ventre
De lhomme.
74
Les
Bourgeois
Nont
Jamais
Pu
Embourgeoiser
Leur
Pot de chambre.
75
Ses seins
Donnaient
Des
Raisins doux.
76
Le
Visage
Dans
Leffroi
Se
Comportait
Comme
Une main.
77
La
Violence
Pleurait
Sur
Les décombres
De
La tendresse.
78
Le Mort
Fit
Un
Saut
Périlleux
Et
Se vit
Debout
De
LAutre Côté.
79
Il faisait
Si chaud
Que
Les fleurs
Durent
Se servir
De
Leurs couleurs
Comme éventail.
80
Lhorizon
Na
Jamais
Pu
Faire
Un nud.
81
La fleur
Connaît
Le vice
Quand
On la met
Sur le dos.
82
Le
Trou daiguille
Perdit
Le fil
De ses
Idées.
83
Elle
Avait
Lil
En
Apostrophe
Dans
Les pantalons
Des hommes.
84
La robe
Eternuait
Dans
Ses volants.
85
Le vin
Prit
Goût
A
Mesure
Quon
Le buvait.
86
La nuit
Se
Met
Au lit
Toujours
En présence
De
La lumière.
87
Le
Fer forgé
Balbutiait
Des
Sentiments
Tendres.
88
Lallée
Etait
A lancre.
Un homme
Passait.
89
La table
Tournait.
Les femmes
Tout autour
Avaient
La même
Robe.
90
Labeille
Quittant
Chaque fleur
Sort
Avec
Un geste ivre.
91
Laiguille
Sépinglait
Tant
Quelle
Se cassa.
92
Leau
Nest jamais
Nue
Quand on la regarde.
93
La rivière
Est
Au décolleté
De son lit.
94
La banane
Amplifiée
Est lhorizon :
Elle est
Dans la vulve
De la rotondité
De la terre.
95
Une poire
A forme de sein
Quand
Elle est mûre.
96
Lhaleine
A toujours peur
Quon la dévore.
97
Le coq
Retire
Son ratelier
Quand il picore
Et le remet
Dans son cri.
98
Le poisson
Meurt
Quand
Il sent
Son arête
Dans sa gorge.
99
Le vase
Bascula
Et fit voir
Le ventre
De leau.
100
Lorage
Est
Le cri
Dagonie
Du feu.
101
La volupté
Est décevante
Parce quelle
Nabaisse
Jamais
Totalement
Sa robe.
102
Le baiser
Est le sein
Qui tète.
103
Larbre
Dénudé
Cesse davancer
Et plane.
104
Le boeuf
Se croit
Mouche
Quand
On le pique.
105
Le vent
Tire
Ses ongles
Parmi
Les épines.
106
La maison
Dautrui
Est
Le week-end
Des chiens.
107
Les voluptueuses
Ont
Des jupes
Traînantes.
108
La pluie
Barbouillée
De vent
Alla
Se laver
Les yeux
Dans létang.
109
La volupté
De lescargot
Est
Filiforme.
110
Dans léclat
La lumière
Tient
Echoppe.
111
Tous les
Gens
Cruels
Sont
Un peu
Clowns.
112
Le centre
Se vit
A travers
Et
Se découvrit
Cercle.
113
Lauto
Abrutie
Par les cris
Des voyageurs
Fit
Une embardée.
114
La route
Usée
Ne sentit
Plus
Sa fatigue.
115
Le charbon
Flambant
Eut
La mémoire
De ses origines.
116
Ses branches
Voyageaient
En
Sac postal.
117
Les premiers
dessins
Donnèrent
Aux hommes
Le visage de leurs
Idées.
118
Le trottoir
Sarrêtait
A chaque
Homme
Qui passait
Pour voir
La rue.
119
La main
Se faisait
Nid
Pour attraper
Loiseau.
120
Le diamant
Ne sattendrit
Que
Quand
On le sème
Parmi les perles.
121
Nul fruit
Na
De lembonpoint.
122
La route
Est
La seule chose
Qui
Ne perd
Pas
Son temps.
123
La seule chose
Qui ne connaisse
Pas
Son épaisseur
Est lair.
124
Pour lespace
Toutes les places
Sont
De première
rangée.
125
Le trou dombre
Ancrait
La bateau lunaire.
126
La rivière
De diamants
Na pas de lit.
127
De grands yeux
Peuvent
Se permettrent
Toutes les bouches.
128
Les fesses
Nont
Aucune
Imagination.
129
Loiseau
de paradis
Ayant reconnu
La beauté
De son plumage
Perdit
Son bonheur.
130
Ses épaules
Couraient
Dans
Lallée
De ses jambes.
131
« Reviens
Et repars »
Dit lespace
Au temps,
« Je serais
Toujours là.»
132
Elle emporta
La valise
De ses hanches
En vue
De sa lune
De miel.
133
La montre
Est
Le temps
Disloqué.
134
Le vide
Naura
Jamais
Fini
De tomber.
135
Tout
Ce qui bouge
Est
A lancre
De lespace.
136
Si la lumière
Dépassait
Sa vitesse
Elle se résumerait
A la nuit.
137
Los
Qui mange
Sa moelle
Est
La vrille.
138
Le fruit est
Mâle
Sur le plat,
Et femelle sur larbre.
139
Tout fleuve
entrant dans la mer
Se comporte en source.
140
Le ruban vit
le jour
Quand la femme déroula
Son premier geste.
141
Léventail
manié
Par la main vulgaire
Se tordait de rire.
142
La couleur a
des phrases
Mais point dalphabet.
143
Son plus beau
désordre
Etait ses cuisses.
144
Les ustensiles
quon lavait
Tenaient une conversation.
145
La pierre devient
sourde
Quand on la frappe.
146
Le rouge
Dans la robe trop serrée
Perdit du poids.
147
Lombre
Est
Le poids
Du temps.
148
La voix senroule
Quand
On regarde
Loreille.
149
Le noir
Porte son deuil
En rose.
150
La pire chaîne
Est
Lespérance.
151
Dans les tableaux
Cubistes
La lumière
Joue
Au loto.
152
Lor
Est avare
Quand
On en fait
Un bijou.
153
La chose
Qui serait
Parfaitement
Vierge
Naurait
Pas de forme.
154
Elle fit
De son corps
Un temple
Et y mit
Lhomme
En religion.
155
La montagne
Remonta
Vers son pic
Quand
Elle entendit
Le coup de canon.
156
Elle avait
Les nerfs
A
Fleur de robe.
157
Les traits de
lhomme
Furent son premier
Vocabulaire.
158
Le vice
Est le plus
Obéissant
De nos
Instincts.
159
Elle retrouvait
Un visage
Vierge
A chaque
Mensonge.
160
Le zéro
Est celui
Qui est
Coupable
De ce quil
Na pas.
161
Lardoise
Sétant écrite
Sen alla
A lécole.
162
Les hommes
Hélas
Ne veulent pas
Le bonheur
Mais
Leur bonheur.
163
Le souterrain
Perdit
Souffle
Quand il vint
A lair libre.
164
Lhomme
sétait quitté
Sa maison
Pour lui
Fut un tombeau.
165
Le plomb
Ne sentit
Son poids
Que quand
On le lança
En lair.
166
Larc-en-ciel
Est une idée
Enrubannée.
167
Le miroir
Cest le temps
Amnésique.
168
Court et long
Se recoupent
Dans le pointu.
169
Les oiseaux
Saisis deffroi
Dans leur vol
Ont lair
De nager.
170
Lhiver
na froid
Qua lapproche
Du printemps.
171
Rien nest
plus mou
Que le dur
Qui finalement
Cède.
172
Le clairon
Est le coq
Qui a dépassé
Son cri.
173
La rivière
coule
Plus lentement
Que la rive.
174
Lépaule
Est
Le plus beau
Portail.
175
La bombe atomique
Avait pris
Pour cible
Le silence.
176
La putain ne
savait plus
Ou se décolleter.
177
La cire retrouva
Sa forme
Quand
On la chauffa.
178
Les feuilles
Dans le bouquet
Sont
Autant de doigts
Tendus
Vers la fleur.
179
La Terre
Etait toute
Etonnée
De la vitesse
De la tortue.
180
La lumière
Mit la main
Dans le sac du soir
Et en tira
Une étoile.
181
Lélectricité
Est hystérique
Et le néon
Est sec de coeur.
182
Lhomme
qui naccolerait
A une image
Aucune idée
Connaîtrait
Lesprit pur.
Sens magique
éditions lachenal & ritter
Sens magique est fait de sept cent cinquante-cinq courts aphorismes, lumineux comme des éclairs et mélangeant, à chaque fois avec une réussite incomparable, le caractère apparemment facétieux de l'image à la profondeur de pensée la plus vertigineuse. De ce livre de pure volupté poétique, que l'on peut lire et relire sans cesse avec un même bonheur, on pourrait dire qu'il illustre parfaitement ce que Malcolm de Chazal écrivit un jour à Jean Paulhan : "Je capte le vivant mais sans avoir à aller aux choses, car Je fais la vie venir à moi en me l'intégrant en esprit - et une fois la chose obtenue, je fais la vie se penser en moi, au lieu de moi-même penser la vie... "
CCVII.
Le plus bel éventail
Est la bouche :
Elle souvre
Par le milieu.CCVIII.
Le bleu
A toujours
Une idée
Derrière la tête.CCIX.
Mouchez le jaune
Et il devient
Blanc.CCX.
Leau de mer
Retire toujours
Son pantalon
Pour sauter
Le récif.CCXI.
Leau
Eut peur
De se mouiller
Et devint
Brouillard.CCXII.
Si lhumanité
Faisait
Lamour en commun
Cesserait
A jamais
Le sens du rireCCXIII.
Le blanc
Nest jamais
Blême.CCXIV.
Le noir
Est la lumiere
Trouée.CCXV.
La lumière
Se lace
Les souliers
Dans les herbages.CCVI.
Seul le jaune
Est à temps.CCVII.
Jamais leau
Ne pourra atteindre
Le feu.
? ! ? ! ! ?
Séteindrait le soleil.CCVIII.
« Elle laima
Tant
Quun jour
Elle se crut
Devenue
Son mari. »
Quadvint-il ?
Lhomme devint fou.CCXX.
Larc-en-ciel ?
Le collier
Qui cherche
Son cou.CCXXI.
Le diamant
Est léternel noyé
Où la taille
Fait la respiration
Artificielle.CCXXII.
Jésus toucha
Les yeux de laveugle
Et laveugle vit.
Laveugle regarda ensuite
Ses propres mains daveugle
Et il vit
Que ses mains
Étaient
De lumière.CCXXIII.
Toutes les fesses
Échappent
A droite et gauche.CCXXIV.
Le trou dans le trou
Cest le plein.CCXXV.
Elle vint
Et se donna.
Puis partit
En soubliant
Sur le lit.
Lhomme
Dès lors
Leut dans la peau.CCXXVI.
Les animaux
De larche
Étaient les sentiments
De Noë.CCXXVII.
Le jaune mastic
Constipe.CCXXVIII.
La lumière
Nest véritablement
Nue
Quau bord de leau.CCXXIX.
Le blanc duf
Dit au jaune duf
«Tu es mes antipodes»CCXXX.
La quadrature du cercle
Cest lil
Au sein du regard.CCXXXI.
Ève
Porta son sexe
Sur sa bouche.
Vint
La pudeur.CCXXXII.
Le miroir
Na pas
de mémoire.CCXXXIII.
Le vieux rose
Est
Un corps
Sans âge.CCXXXIV.
Une aiguille
Qui pique
Une autre
Tel est léclis
Du diamant.CCXXXV.
Toute racine
Au-dessus
Du sol
Trotte
Comme un oiseau.CCXXXVI,
Elle brûle
Dennui.
Qui est-elle ?
Le gris
En soie grège.CCXXXVII.
Le vert
Est la couleur
Qui sustend
Le mieux.
Et le bleu
Fait parasol.CCXXXVIII.
Les couleurs
Nont pas
De métis.CCXXXIX.
Le mauve
Pleure
Des larmes dargent
Et rit
Des sourires dorCCXL.
Lespace
Perdit
Sa poche
Et la retrouva
Dans une graine.CCXLII.
La nuit
Na pas de dortoir
Elle couche partout.CCXLIII.
Leau
A
Pour pantalon
Lécume.CCXLIV.
La machine
Fatiguée
Ronfla.
Le temps
Dormait
Dans son sein.CCXLVI.
Les graines
Dans la grappe
Jouent
Un jeu de golf
Sans trou.CCXLVII.
La lumière
seffeuille
Quand
Tombent
Les pétales
De lautomne.CCXLVIII.
Tous les bruits
Amers
Sentent
La vague.CCXLIX.
Nul parfum
Nest vierge.CCL.
Croire
Est la fatigue
Des dévots.CCLI.
Lhuile
Ne laisse
Si bien glisser
Que parce quelle
Se freine.CCLV.
Laraignée
Meurt
Lorsquelle
Se voit
Mouche.CCLVII.
Si la mère
Avait des tetons
Pointus
Lenfant plus tard
Naurait pas tété
Son pouce.CCLVIII.
Le lilas
Est le rose
Qui rêve.CCLX.
Les joues
Se cherchent
Une joue
Dans le sourire.CCLXII.
Tous les mots
Sont des pièges
A mouches.
Laraignée
Cest lidée.CCLXIII.
La banque
Est une police
A froid.CCLXIV.
Ne force
Pas
Le feu
Il devient froid.CCLXVI.
Elle loucha tant
Quelle se faussa
La hanche.CCLXVII.
Lherbe enrhumée
Dit à lair :
« Passe-moi
Ton mouchoir
Ma mie ! »